Réaliser un morceau demande beaucoup d’autres choses très importantes en dehors des paroles. La musique donne du goût aux chansons. La composition de celle-ci demande une attention particulière, car c’est une étape qu’il faut réussir avant d’y ajouter les paroles. Lisez dans ce contenu deux différentes manières pour définir le mode du morceau avec un hook.
Faire sonner « joyeux », « dansant »
Avec un hook, une mélodie qui constitue le principal motif d’un morceau, permet au compositeur de sonner soit « joyeux », soit « dansant », ou les deux, ensemble. Pour sonner le premier, l’astuce est qu’il faut jouer dans des intervalles majeurs et le mode majeur.
Le majeur en réalité ajoute une touche naturelle qui rend léger et joyeux. Il apporte au morceau son caractère dansant.
Pour le second, le hook dansant, l’utilisation de tonalité majeure est recommandé. Ceci est pour ceux qui souhaitent une suite d’accords. Le mode majeur est utilisé couramment dans la pop. Nonobstant, le pop reste minoritaire dans le mode mineur.
En effet, le mode mineur donne l’impression qu’on joue un morceau d’enfant, et même cela sonne top léger. C’est comme si on jouait au Clair de la Lune aux enfants.
Faire sonner « neutre », « triste » ou « sombre »
A ce niveau, le compositeur doit faire une inversion pour obtenir « sombre ». Au lieu de jouer avec le mode majeur comme de l’autre côté, il faut plutôt faire usage du mode mineur, pareil pour les intervalles. C’est d’ailleurs le mode le plus utilisé dans presque tous les sons qu’on écoute.
Le mode mineur est utilisé dans plusieurs variétés de styles. Il a aussi un caractère neutre, car on n’y sent pas des sonneries de joyeux, de triste. Ce mode est souvent utilisé dans les chansons dans lesquelles le chanteur fait usage d’agressivité. Mais l’important, c’est de laisser son feeling faire le boulot.
Par allures, pour ceux qui s’y savent bien en la matière, peuvent combiner les mineurs et les majeurs. Ceci, pour apporter de plus précision.